YŪREI

Christophe Béranger & Jonathan Pranlas-Descours

Sine Qua Non Art

YŪREI

Christophe Béranger & Jonathan Pranlas-Descours

Sine Qua Non Art

Entre pointes classiques, danses urbaines et cyber-robots, les chorégraphes Christophe Béranger et Jonathan Pranlas-Descours nous embarquent dans une aventure hybride et futuriste. Le fantôme de Petrouchka, icône du ballet classique, rencontre celui d’un « yūrei », (fantôme) japonais sorti d’un manga. Entre eux se noue un singulier pas de deux. Les corps se parent de lumière et de paysages numériques. La musique électro et le son du beatbox en direct nous plongent dans une atmosphère mystique et ensorcelante. Un spectacle électrisant !

dim. 30.03.25 > 17h
Saint-Jean-de-Luz > Tanka

Danse - Musique
dès 6 ans
Durée : 50 min

Tarifs

  • Enfant & adhérent 15-25 ans : 10 €
  • Adhérent réduit : 12 €
  • Adhérent classique : 14 €
  • Tarif plein : 20 €
Places numérotées

La presse en parle

"Un voyage ébouriffant et envoûtant entre mythologie et manga, rythmé au son d’un beatbox teinté de soul."

-, Ville d'Annecy

"[Yūrei] explore un nouveau versant du sillage de la pantomime et des cultures urbaines."

-, Ré à la Hune

Concept, chorégraphie : Christophe Béranger &  Jonathan Pranlas-Descours / Avec : Sakiko Oishi et Brice Rouchet (danse), Tioneb (musique BeatBox Loop) / Création numérique, vidéo : Olivier Bauer / Technique : Pierre Hébras

Production: Sine Qua Non Art
Coproduction : Carré AmelotLa Rochelle / Centre Chorégraphique National - Ballet de Lorraine (Accueil studio) / Centre Chorégraphique National de Créteil et du Val-de-Marne / Cie Käfig (Accueil Studio) / La Ferme du Buisson – Scène nationale de Noisiel / L’Odyssée – Scène conventionnée Périgueux / L’Arsenal – Cité Musicale-Metz / CCM – Limoges – Scène Conventionnée d’intérêt national Art et Création Chorégraphique

Terme japonais, pour désigner certaines personnes ayant laissé sur terre des chagrins, des colères, ou des regrets, qui ne peuvent quitter ce monde, et l’on dit de leurs âmes, les yurei « fantômes », qu’elles apparaissent aux personnes touchées par le sort.

Une relecture contemporaine et urbaine des spectacles fantasmagoriques, ou l’art de faire parler les fantômes en public, de rendre visible l’invisible,pour explorer un nouveau versant du sillage de la pantomime et des cultures urbaines... Lorsque le tribal rencontre le numérique, des origines vers le futur, les corps sont ornés de parures lumineuses et paysages numériques pour un voyage rythmé au son du beatbox et de ses déformations endiablées.

Librement inspiré de la ‘‘Fantasmagorie’’,étymologiquement « l’art de faire parler les fantômes en public » et de la technique qui se trouve être l’ancêtre de la projection numérique dans le spectacle vivant, cette nouvelle création suivra le fil conducteur onirique de la fantasmagorie, du YUREI Japonais et du mythe de Petrouschka pour une création musicale et chorégraphique originale rassemblant un trio d’artistes fulgurents. 

UN NOUVEL ENJEU DU CORPS EN MOUVEMENT
Le travail sur le costume aura pour objet de détacher les danseurs du décor, comme source de lumière autonome ou réfléchissante et donc comme espace corporel numérique. Créer la présence d’un personnage de type « avatar » , qui est une représentation symbolique projetée à l’intérieur de l’oeuvre et mettre en scène une dramaturgie du costume créant une succession de personnages fanstasmagoriques.